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Elles seraient plus pesantes que le sable de la mer;
Voilà pourquoi mes paroles vont jusqu’à la folie!
Car les flèches du Tout-Puissant m’ont percé,
Et mon âme en suce le venin;
Les terreurs de Dieu se rangent en bataille contre moi.
L’âne sauvage crie-t-il auprès de l’herbe tendre?
Le bœuf mugit-il auprès de son fourrage?

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